Sιance
n°9 : Les homophones lexicaux et
grammaticaux
Objectif : revoir les principaux homophones grammaticaux, et lexicaux, sources
derreurs chez les ιlθves
Support :
Le Petit Poucet, extrait des Contes du miroir de Yak Rivais
Les homophones
Retrouve dans ce texte toutes les erreurs
dhomophones et corrige-les.
Le Petit Poucet
Il ιtι
une foie un bϋcheron est sa femme qui ιtaient trθs pauvres et qui avaient
cette fils. Un
..
soir,
il nud resta rien a manger a la chaumiθre. La maire dit haut paire :
..
_ Nous
ferions mieux deux perdre nos enfants dans les boas, car jeu neveu pas les voir
mourir de fin.
.
_Entendu,
rιpondit le pair. Nous les mθnerons demain au boit, et nous les y laisserons.
..
Ils ce mirent au lie. Mai le plus petit des enfants, quon appelait le
petit poussι, avait tout
..
entendu.
Il ce leva sur la pointe des pieds, sortit de lΰ maison et ramassa des graviers
plaint ces poches.
Puits
il allah ce coucher.
Le lendemain matin, le bϋcheron et sa femme partirent pour la faurι
avec leurs enfants. Tout
le
long du chemin, le petit Poncet lessai tomber ces cailloux. Si bien que
lorsque lait enfants se
retrouvθrent
seuls et perdus, leurre frθre les rassura :
..
_Suivez-mois,
leur fit-ξle. Je connais le chemin. Il les ramena chez ufs en suivant les
petits cailloux.
Camp
les enfants arrivθrent, justement, lamer et le pθre pleuraient parce
quils venaient de recevoir
..
des
saouls que le seigneur lheure devait.
.
_Mes
enfants ! gιmissait la mer. Oω sont-ils ? Comme je suie malheureuse !
.
_Nous
somme la ! criθrent les set frθres joyeusement.
..
Les
retrouvailles furent trait chaleureuses. Met quelques semaines apprκt, la
famille, deux nouveau, nu
plus
rien ΰ manger. Est une foix encore, les parents dιcidθrent de perdre leurs
enfants. Le petit Poucet
les
entendit, mais quand il voulut sortir chercher des petits cailloux, il en fut
empκchι car les parents
..
avaient
fermι lapporte ΰ claie. Le petit Poucet, forcι de rester dent la chaumiθre,
se contenta de
..
ramasser
des miettes de pin. Et ce fut des miettes de peint quil jeta le long du
sentier le lendemain
..
matin,
tant dit que les parents emmenaient la famille. Les frθre noeud ce doutaient
deux rien, ils
..
riaient.
Quant ont fut dans la grande forκt, le pθre et la mθre sιloignθrent en
faisan semblant de
.
travailler.
Les enfants se retrouvθrent seuls alors queue la nuit tombait
.